Au creux du saule
Qui
berce et cajole
Valse
lente de ses longues mèches folles,
Vert brillant, ocre clair
Emouvant
nid ondoyant
En
surplomb de la roselière
Le
regard dérive et se perd,
Aux
lueurs du soleil tombant,
La
vie s’apaise,
Les
pensées s’envolent.