L’écume des vaguelettes vient caresser
le sable chaud. De loin en loin résonne le cri des mouettes. Les villas belle-époque
veillent la plage alanguie. Le vent léger danse sur le bord des pare soleils.
Le soleil baisse à l’horizon et les
rochers arrondis se parent de rose et d’orange. Il est bon de frissonner un peu.
Les notes du piano du bar parviennent à peine assourdies aux oreilles du
promeneur distrait.
Les lumières de la baie apparaissent une
à une. Le ressac se fait plus discret.
Soir d’été.