Moi et mes pieds, il faut qu'on cause !
Ces deux flandrins
Prennent des poses
Jouent de l'arthrose,
Comme des traîne-patins.
Ces deux drôles,
Esquivent les cabrioles,
Font les marioles,
A l’ombre des saules
Moi et mes pieds, il faut qu'on cause !
Indispensables coquins,
Cessez de faire les malins !
Laissez-là vos oignons,
Oubliez les chaussons !
Messieurs, allons,
Ne soyez pas rebelles
A vos semelles,
Marchons !